Flying Cities – The Genesis / Flying Cities, la Génèse…

FCGenesis2016

Après la Collection 2016, Emmanuel Di Giacomo présente la génèse de ses “Flying Cities”, les villes utopiques volantes.

Une démarche de plus de 20 ans s’appuyant sur l’utopie, l’architecture, l’onirisme et des inspirations telles que celle de Gaudi, Miyazaki, la Renaissance Italienne, Luc Schuyten et Hundertwasser…

La nature, le design et le monde nous entourant sont sources d’inspiration et cette démarche a aussi permis de donner par la suite naissance à ses deux villes utopiques, ROMA MMMX et Milano MMMX, ses villes utopiques BIM suivies par plus de 92 000 personnes dans le monde auxquelles un album intitulé “Utopic City, The Genesis” sera aussi prochainement consacré.

Pour les connaisseurs du travail d’EDG, vous retrouverez certains de ses dessins historiques passés et peut-être quelques découvertes.

Vous pouvez découvrir “Flying Cities”, les villes utopiques volantes en cliquant ici.

Bonne découverte…

Le BIMM révolutionne la filière immobilière et construction en Italie

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A lire sur le site italien Digital 4 Executive, un excellent article de l’Expert en Business Process Management Mario Caputi sur le BIMM (Building Information Modeling & Management) en Italie qui dans le cadre de la nouvelle loi sur les appels d’offres de marchés publics génère des avantages pour tous les opérateurs du secteur en réduisant le gap entre le prix d’adjudication des Ao et le coût final, améliorant la réactivité, la qualité du projet.

Le nouveau code des marchés publics pré approuvé en conseil des ministres prévoit l’utilisation du BIM Mais pas son impositions dans un premier temps. La filière BTP doit donc apprendre à travailler de manière intégrée, d’autant plus que l’IoT, la mobilité et la Business Intelligence génèreront un flux de Big Data sans commune mesure que seul le BIM permettra de traiter et d’exploiter.

La Directive du 15/01/2014 qui recommandait aux 28 Etats Membres l’utilisation d’un processus BIM ne fut donc pas une vaine action car elle commence à redescendre petite à petit dans les pays et donne lois dans certains pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Espagne à de réelles obligations et de véritables réflexions de fond que nous devrions imiter.

Mario Caputi rappelle que le BIM naquit il y a une vingtaine d’années, théorisé la première fois par Phil Bernstein, Architecte et vice-président chez Autodesk et ensuite rendu populaire par Jerry Laiserin. Ces dernières années , il y a eu de nombreuses définitions pour le BIM dont 2 les plus significatives :

Le BIM ne change pas la conception et la visualisation des édifices mais modifie radicalement tous les processus dédiés à réalisés les édifices et ouvrages d’art

Le BIM est une représentation paramétrique des caractéristiques physiques et fonctionnelles d’une structure et de ses informations relatives à son cycle de vie prévu, sur la base de standards ouverts pour le processus décisionnel d’entreprise à des fins d’une plus grande profitabilité

En somme, le BIMM est une méthodologie qui impose la génération de données et informations à partir des phases d’esquisses préliminaires et il devient une condition nécessaire à quelque chose de plus complet et plus large le BIMM (Building Information Modeling et Management), cad, la capacité à numériser et gérer toutes les informations nécessaires et inhérentes aux processus, des phases de conception, en passant pas la construction et la gestion et maintenance, en passant par les phases d’appels d’offres de marchés publics. Mais les bénéfices les plus importants bénéficient à la maitrise d’ouvrage.

En simplifiant, on peut dire que le BIMM a différentes dimensions de gestion :

3D : informations pour la représentation graphique des projets

4D : informations pour la planification des travaux (temps)

5D : informations pour l’économie du projet (budget) et l’estimation des travaux

6D : informations pour la gestion et maintenance du bien, ainsi que sa gestion énergétique

7D : informations pour  la gestion du chantier, la collaboration et l’intelligence business

A lire avec grand intérêt en cliquant ici.

L’Industrie est-elle prête pour le BIM Level 2 ? Etude de Construction News

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L’obligation du BIM Niveau 2 au Royaume-Uni est derrière nous, ce qui signifie que les ministères et organisations publiques doivent maintenant être prêts et en mesure de lancer des appels d’offres en spécifiant un BIM niveau 2, et les entreprises qui souhaitent gagner des projets dans ce domaine doivent être elles-aussi prêtes. C’est un fait.

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Une deuxième date limite, celle du 3 Octobre arrive aussi à grand pas et marquera une étape importante avec les ministères qui seront en mesure de « valider électroniquement l'information BIM délivré par la chaîne d'approvisionnement. "
Dans le contexte de cette première échéance du 4 Avril, Construction News, en association avec Autodesk BIM 360, a réalisé une étude auprès de plus de 150 entreprises allant des grandes entreprises de construction  jusqu’aux PME, afin de voir quel était leur niveau de connaissance et d’adoption du BIM, aussi bien les entrepreneurs eux-mêmes que leurs sous-traitants.

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Construction News a également interrogé des bureaux d’études et ingénieries, des agences d’architecture, des sociétés de Consulting et des clients de tous types.
L'enquête a porté à la fois sur les capacités des entreprises à faire du BIM mais aussi l’impact de ce nouveau processus sur leurs structures.  On y découvre des résultats concrets, des chiffres, des données intéressants et aussi quelques surprises, qui ont été analysées par des experts de l'industrie pour analyse et commentaires.

Découvrez les résultats de cette étude BIM de ConstructionNews en cliquant ici.

Interview de Rebecca De Cicco, la Madone du BIM

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Rebecca de Cicco, fondatrice du Groupe Women in BIM et Directrice de la société de consulting BIM Digital Node, démontre que les Femmes du BIM sont les meilleures en aidant l’Australie, le Royaume-Uni et le Canada à passer le cap de l’obligation du Level 2, et en formant les professionnels sur le terrain.

Elle nous parle de sa passion pour le BIM, pour son métier, pour sa société Digital Node et pour la transition numérique actuelle dans les pays anglo-saxons comme l’Australie, et aussi de la difficulté des femmes à faire leur place dans ces métiers.

Elle salue donc l’initiative d’équilibrer une représentativité des femmes dans le BIM à 50% chez les anglo-saxons au sein de BIM Regions.

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Nous avons aussi nos “ Wonder Women du BIM ” en France et nous les saluons pour le travail extraordinaire qu’elles font au quotidien pour le BIM au sein de leurs entreprises et Groupes. Elles sont architectes et ingénieurs et elles s’appellent : Astreed Beem, Julie Guezo, Maud Guizol, Julie Greguor, Pervenche d'Audiffret, Aurélie de Boissieu, Annalisa de Maestri, Anne-Solène Dris, Daphné Dureisseix, Leïla Essemrhouni, Marjorie Janin, Zeïna Khawam, Corina Mansuy, Marielle Martin, Pauline Martin-Lalande, Cecilia Olive, Marie-Ange Tincelin, et toutes les autres Professionnelles qui oeuvrent à l'essor du BIM… Elles sont l’exemple de l’excellence dans le BIM en France et dans le monde !

Un article à lire absolument en cliquant ici et une parité à définitivement établir !

Projet CRHAHN – Les jeunes générations du BIM au Lycée Laplace de Caen assurent !

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Alors que bon nombre d’actifs et de professionnels se posent encore la question existentielle du pourquoi du comment du BIM, au risque de creuser l’écart déjà conséquent par rapport à nos voisins européens, l’Education Nationale que nous ne féliciterons assez jamais, mais surtout leurs Jeunes, “ nos jeunes “, formés par une poignée de vaillants professeurs de lycées, y vont et foncent dans le “BIM”. Quelle bouffée d’air frais et d’espoir !

L’exemple du projet CRHAHN du Lycée Laplace à Caen est tout juste bluffant ! Un groupe de 6 étudiants de 2ème année de BTS Bâtiment du Lycée Laplace (Caen) a travaillé sur la construction d'un internat afin d'acquérir des notions élémentaires du BIM.

Ce projet a été commandé par la région Basse-Normandie. L'entreprise chargée du gros-oeuvre du bâtiment est l'entreprise ABSCIS-BERTIN Construction et les travaux ont débuté le 9 juillet 2015 pour la réception prévue à la rentrée 2016. Le maître d'oeuvre est Monsieur Chillou, architecte, du Cabinet Millet-Chillou.

Le bâtiment fera office d'internat pour les sportifs de haut niveau venant de basse-normandie et même de toute la France. Le projet CRHAHN signifie donc Centre de Ressources et d'Hébergement pour les Athlètes de Haut Niveau.

La surface totale du bâtiment est de 2037 m² répartie sur 3 niveaux, dont le rez-de-chaussée mais le bâtiment ne possède pas de sous-sol.

Le projet a été modélisé avec la solution BIM de référence Revit !

En tant qu’experts du BIM, du marché du BTP et Editeurs, nous ne pouvons qu’applaudir la qualité du travail, de l’initiative et féliciter ce lycée, les entreprises, et surtout les élèves et leur professeur :

Équipe "maquette numérique" :

Charly Philippe (BIM-manager et concepteur de la maquette architecture)

Bastien Vallée (Dessinateur-projeteur et concepteur de la maquette structure)

Rémy Verdier (Dessinateur-projeteur et concepteur de la maquette structure)

Équipe "suivi de chantier" :

Félix Lehadouey (suivi de chantier, montages de présentation et conception du blog)

Pierre Livory (suivi de chantier et montages de présentation)

Ronan Chadouteaux (suivi de chantier et montages de présentation)

Les travaux ont été encadrés par Monsieur Stéphane Lesaigle, professeur au lycée Laplace.

Vous pouvez découvrir cette belle histoire BIM de jeunes ici en cliquant ici.

BA-SO – Une jeune agence créative, dynamique et…BIM

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© BA-SO – 2016

Qui a dit que le BIM ne s’adressait qu’aux gros ? Qui a dit que le BIM limitait la créativité et le dynamisme ? Qui a dit que le BIM n’était pas pour les architectes ?

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© BA-SO – 2016

N’en déplaise aux sceptiques, Cédric Baelde et Laurence Sou font taire la (fausse) rumeur et prouvent qu’on peut être jeune, architecte, dynamique, au fait des nouvelles technologies, BIMer et être (très) créatif !

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© BA-SO – 2016

L’agence Ba-So Architectures s’est formée autour de deux associés Laurence Sou et Cedric Baelde. Après avoir travaillé dans de grandes agences parisiennes, ils ont décidé d’unir leurs activités autour d’une vision commune de l’architecture. Evidence et signifiante sont les deux qualificatifs qui résument leur recherche architecturale. L’évidence c’est le fruit du travail de l’architecte, c’est la recherche d’une réponse à un lieu, à un usage pour proposer une architecture sans cesse renouveler se nourrissant des contraintes. Cette évidence agit comme une force externe au projet et accompagne sa conception pour en révéler le fondement, le sens caché.

Leur transition vers le BIM, ils l’ont décidé dès le début de leur aventure, avec la solution BIM Autodesk Revit, et ils produisent de véritables bijoux d’architecture, jugez-en par vous-mêmes…

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© BA-SO – 2016

On l’on peut aisément se projeter à son échelle !

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© BA-SO – 2016

Pour contacter BA-SO :

@BaSo_Archi

www.ba-so.net

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© BA-SO – 2016

Sur Batiactu, Geoxia fait son BIM out !

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© Batiactu 2016

Geoxia, lauréat d'un appel à projets lancé par le Plan Transition Numérique dans le Bâtiment est au centre d’un article sur Batiactu cette semaine.

Au travers de son appel à projets pour mobiliser les maîtres d'ouvrages publics et privés à utiliser le BIM dans leurs réalisations, le Plan Transition Numérique dans le Bâtiment (PTNB) dirigé par Bertrand Delcambre souhaitait que soit expérimenté l'usage du BIM à tous les stades de développement des chantiers.

Le constructeur Geoxia, et sa marque Maisons Phenix, a été désigné lauréat dans la catégorie « maison individuelle ». Cette maison de plain-pied, d'à peu près 90 m2 sera édifiée dans la région Grand Ouest. La maquette numérique sera donc expérimentée à tous les stades d'avancement du projet : de sa conception (commercialisation et personnalisation) en passant par son développement, jusqu'à sa réalisation.

Louis Grivot-Brunhes, directeur technique national chez Geoxia explique « La particularité de notre projet, c'est la spécificité de la marque de pouvoir s'appuyer sur un catalogue de modèles qui peuvent être paramétrables et configurables à souhait. On peut ainsi personnaliser numériquement le projet dès la phase de commercialisation ».

Le PTNB, a également été séduit par la capacité de Geoxia à maîtriser la fabrication et l'industrialisation de sa production. En effet, les maisons Phenix ont un système constructif qui repose sur une charpente métallique préfabriquée en atelier.

Nous sommes très heureux de voir les progrès de Geoxia sur le BIM car nous les avions rencontrés il y a plus de 4 ans, et ils avaient à l’époque basculé et choisi Autodesk Revit comme outil central de production BIM.

Découvrez l’article complet sur Batiactu en cliquant ici.

BIM&CO – Une plateforme participative dédiée au contenu BIM

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Bonjour Charlotte,

Merci d’accepter cette petite interview qui nous permettra de vous connaître un peu mieux sur ce marché où vous arrivez nouvellement.

Quelle est votre formation d’origine Charlotte et comment êtes-vous arrivée dans l’univers du BIM ?

Bonjour Emmanuel, et merci de m’accorder cette interview pour parler de BIM&CO.

A l'origine j'ai une formation d'architecte. J'ai suivi mes études à l'école d’architecture de Rouen, où j’ai appris à modéliser sur Revit. On ne parlait pas encore de BIM à ce moment-là, mais depuis, l’école a mis en place une « option BIM » en Master encadré par Pierre-Antoine Sahuc et Bertrand Camillerapp depuis 2 ans, et avec qui nous mettons en place un partenariat actuellement. J’ai été diplômée quelques mois avant que BIM&CO ne voit le jour. Le BIM était alors nouveau pour moi. Etienne Mullie, le créateur de BIM&CO m’a présenté le projet, j’ai tout de suite été passionnée par le coté innovant, et nous avons démarré.

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Charlotte Pellerin, architecte

Pouvez-vous nous dire comment est né BIM&CO et quels objectifs vous vous fixez, ainsi que votre mission pour vos futurs utilisateurs ?

BIM&CO est une filiale de TraceParts du groupe Trace. l’un des leaders mondiaux de la diffusion de contenu numérique 3D pour l’industrie. et qui compte près de 3 millions d’utilisateurs dans le monde. La demande des fabricants de nos clients, notamment en HVAC, était très forte. Et le groupe ne pouvait laisser passer cette « Next Big Thing » qu’est le BIM ! Aussi, TraceParts associée à la maison mère et à Trace Software International, engagée dans le BIM Elec avec son logiciel de calcul, ont investi considérablement dans cette aventure.  L’objectif est très clair, BIM&CO doit être là, parmi les 2 ou 3 plateformes dédiées au contenu BIM, et l’une des plus utilisées dans le monde.

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BIM&CO n’est pas un portail d’objets BIM de plus. Nous avons créé un véritable écosystème collaboratif tout à fait innovant. N’importe quel fabricant peut publier son catalogue BIM directement en ligne. C’est unique sur le marché. Nous souhaitons fédérer les « Content Partners » qui sont les sociétés spécialisées dans la réalisation de contenu, comme Polantis, BIMSTORE ou BIMETICA. BIM&CO n’a pas pour vocation de réaliser du contenu. Nous sommes une plateforme d’accueil, d’échange et de diffusion des meilleures pratiques pour la réalisation et l’exploitation du contenu. Il y a des milliards de produits à digitaliser ! Nous avons également mis en place un système de gestion des propriétés standards très évolué qui devrait permettre d’accélérer la standardisation des propriétés liées aux objets. Le groupe est un grand spécialiste du logiciels, aussi nous investissons beaucoup pour faciliter l’usage des données à travers des plugins  (actuellement pour Revit et d’autres logiciels CAO et BIM) et nous allons fournir les API et les WEB Services pour que tout éditeur de logiciel puisse récupérer les données des objets présents dans BIM&CO.

Etes-vous dans un système participatif où les participants créent eux-mêmes et partagent le contenu avec la communauté ?

La plateforme intègre des fonctions collaboratives très pointues. Plusieurs personnes peuvent travailler sur le même objet. Les utilisateurs peuvent travailler seuls, en groupe défini, ou à l’échelle de la communauté BIM&CO. Chaque membre du groupe de travail se voit attribuer des droits spécifiques par l’administrateur du groupe. Le BIM est collaboratif, nous proposons qu’il le soit aussi pour les objets. En effet pour numériser un objet, il y a bien sûr la partie géométrie, qui demande déjà plusieurs compétences, mais aussi les différentes disciplines techniques pour la définition et la saisie des propriétés. BIM&CO permet l’échange des compétences de chaque utilisateur sur un même objet.

Vous semblez dire que des objets du monde entier sont partagés. Avez-vous des accords particuliers à l’étranger ?

Bien sûr, nous avons des relations privilégiées avec les différentes filiales de TraceParts, spécialistes des objets MEP.

Nous avons un accord avec BIMSTORE au Royaume Uni, avec plusieurs partenaires italiens et nous sommes en discussion avec plusieurs partenaires.

Produisez-vous aussi des objets au standard IFC ?

Oui, c’est important, et cela a constitué un gros défi. Un objet de la plateforme inséré dans un projet sera exporté correctement dans une maquette au format IFC. Bien sûr, il faut aussi que l’Auteur de l’objet donne les données. Ensuite, toutes les propriétés IFC sont gérées par la plateforme. Pour cela, nous avons défini un système de classification BIM&CO. Si l’objet est mis dans la « bonne » classe, il acquiert automatiquement les propriétés IFC adéquates.

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Revit, en tant que solution BIM semble bien représenté parmi les objets à disposition. Cela correspond-il selon vous à la réalité du marché ?

En effet, il y a les statistiques issues d’organisations du BIM, ou des éditeurs de logiciels, mais de notre côté, nous demandons à nos utilisateurs afin de savoir quel types de formats ont-ils le plus besoin, et dans les deux cas, l’utilisation de Revit arrive en tête devant les autres logiciels.

 

Allez-vous réaliser des plug-ins spécifiques pour les logiciels qui faciliteraient l’accès à votre communauté ?

C’est un élément essentiel sur lequel nous travaillons depuis le départ. Nous avons donc aujourd’hui un plugin pour Revit, et d’autres applications CAO phares du marché.

Cette application nous permet de proposer le « smart download ». Cela offre à l’utilisateur la possibilité de choisir parmi les propriétés qui ont été mises dans la base de données, les propriétés qu’il souhaite insérer dans l’objet. Le plugin permet alors de choisir les données et les types de l’objet, ainsi que la langue des données. Ensuite avant d’insérer l’objet, celui-ci va être modifié par incorporation des paramètres sélectionnés.

Les données sont insérées dans les paramètres de l’objet en respectant les différentes règles de classifications des logiciels BIM et les IFC en particulier.

Le Smart Download permet également d’enrichir un objet déjà inséré avec de nouvelles données présentes dans la base BIM&CO.

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4-BIM&CO_Quick&Smart Download

Dernière question plus personnelle. Vous êtes élève au Mastère BIM de l’ENPC. Quel est votre retour après plus de 6 mois ?

Cette formation a été une des premières à se mettre en place en France et à pousser d’autres écoles à proposer des formations au BIM, c’est une très bonne chose. Au cours de ce mastère, il y a des interventions de personnalités phares du BIM, mais aussi des cours théoriques. Cela apporte une réflexion sur le BIM et le travail collaboratif sous différents angles.

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Il y a aussi des ateliers en groupes. Cela nous met en situation : travail en équipe, en lien avec plusieurs autres équipes qui représentent les différents acteurs que l’on rencontre au cours d’un projet. C’est très formateur et permet de mieux comprendre les attentes de chacun dans le BIM et de les appliquer chez BIM&CO. De plus, cela permet de créer une communauté de BIMer issus d’univers différents, ce qui est très enrichissant.

Il est essentiel de se former au BIM aujourd’hui, il faut espérer que dans les années à venir le BIM fera partie des formations initiales.

Merci à vous Charlotte. Nous vous souhaitons un franc succès avec votre plateforme d’objets (www.bimandco.com).

Contacter Charlotte Pellerin :

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L’UNSFA démocratise la technologie avec le Kit BIM et Autodesk

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L’accès à la technologie et au BIM IFC de buildingSMART est un problème de taille pour les architectes puisque l’on sait que la fourchette d’investissement se situe aux alentours des 15000€ par poste selon des études.

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L’UNSFA, l’Union Nationale des Syndicats français d’Architectes a donc voulu travailler sur le sujet et proposer des offres d’accès démocratiques.

Autodesk, partenaire historique de l’UNSFA depuis plus de 14 ans a aussi souhaité s’impliquer très fortement pour que les Architectes puissent eux-aussi bénéficier du BIM, et propose donc des offres intégrant logiciel BIM certifié IFC comme Revit et formation représentant à titre d’exemple :

  • 1200€ (Revit LT Suite) + 1500€ de formation, soit 2700€ pour le logiciel et la formation selon conditions.

Ou

  • 5950€ (Building Design Suite) + 1500€ de formation, soit 7450€ pour le logiciel et la formation selon conditions.

Le concept est simple : Payez 2 ans et bénéficiez de 3 ans d’abonnement !

Vous êtes architecte, vous voulez en savoir plus et passer au BIM IFC et bénéficier du Kit BIM ?

Cliquez ici afin de découvrir les détails de ces offres limitées dans le temps.

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La collaboration ouverte ou open c’est l’IFC de buildingSMART

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L’ère de la connexion transforme radicalement la manière dont nous concevons, construisons, gérons et entretenons notre patrimoine urbain et bâti.

Autodesk est un acteur majeur avec une démarche définitivement “open” pour aider les professionnels de l’architecture et du BTP à maximiser cette transformation grâce à un soutien indéfectible à l’interopérabilité, l’openBIM®, les processus collaboratifs BIM, et les standards comme l’IFC, le COBie, ou le BCF de buildingSMART International l’organisation internationale auprès de laquelle nous faisons certifier nos applications en import, export et Définition de Vue de Modèle (MVD), Architecture, Structure et MEP.

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En tant que Membre fondateur et depuis plus de 20 ans maintenant, Autodesk supporte buildingSMART International, la seule et unique organisation qui développe et maintient le standard IFC, le standard d’interopérabilité leader pour le partage et l’échange de données BIM entre différentes solutions logicielles. Attention donc aux mauvais usages de la marque openBIM par certains dont voici le seul et vrai logo d’AOC

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La collaboration ouverte ou open c’est l’IFC !

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Chez Autodesk, nous sommes “open” car par ailleurs nous donnons un accès à plus de 4000 développeurs dans l’Autodesk Developer Network (AND), travaillant à créer des logiciels et des plug-ins qui supportent l’openBIM. Et les partenaires Autodesk AEC offrent une expertise technique de haut niveau sur le support et la formation à nos logiciels pour vous aider à travailler plus efficacement et acquérir un avantage concurrentiel.

Découvrez notre site et ses ressources (en bas) en cliquant ici.

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