L’Émilie-Romagne met en place un plan de numérisation de son territoire qui prévoit des ressources à hauteur de 200 millions d’euros.
L’urgence sanitaire et la crise économique actuelle ont rendu les changements qui s’avéraient déjà fondamentaux, tels que l’innovation et la numérisation, encore plus nécessaires. Dans le cadre de l’agenda numérique de l’Émilie-Romagne, appelé Data Valley Bien Commun, ces modifications deviennent les outils d’une croissance durable qui place au centre : l’emploi, la démocratie, l’égalité, l’éthique, la justice et l’inclusion.
DataValley, bien commun (Bene Comune) a 7 objectifs principaux :
- Stratégie autour des données
- Numérisation pour le développement socio-économique
- Transformation numérique de l’Administration Publique
- Services publics numériques
- Plusieurs réseaux pour une Région hyperconnectée
- Des contextes marginaux aux communautés numériques
- Les femmes et le numérique
Un projet qui vise à rendre l’Émilie-Romagne toujours plus intelligente avec notamment l’utilisation de l’Intelligence Artificielle pour développer de nouveaux services et faciliter la transformation numérique. Les secteurs publics et privés seront sollicités.
Les objectifs de mise en œuvre d’un changement qui soit avant tout au bénéfice des citoyens se traduisent par des interventions spécifiques de développement infrastructurel pour le haut débit dans les écoles, les communes, les espaces sociaux pour les jeunes et les établissements productifs, avec une attention particulière aux zones de montagne et périphériques, et ce, de manière à faire de l’ensemble de l’Émilie-Romagne un territoire de plus en plus intelligent.
Ces espaces seront les premiers protagonistes du développement des communautés numériques, pour en faire des lieux où il sera plus agréable, plus facile et plus rentable de vivre grâce à la diffusion de la connectivité, des compétences numériques à travers la population, l’introduction des technologies dans l’économie locale et à la promotion d’un travail et d’études intelligents et d’espaces partagés, en tant qu’outils concrets de lutte contre le dépeuplement.
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