Sur Le Moniteur.fr, on apprend que les Professionnels du Paysage ont eux aussi décidé – lors d’une journée d’échanges consacrée à la “ palette végétale de demain “ – de devancer l’appel et de défricher les sentiers du BIM pour pouvoir se l’approprier au mieux et au plus vite, afin qu’il ne leur soit pas imposé.
Philippe Thébaud, fondateur et père de l’agence TUP, très belle agence de paysagisme et d’urbanisme a réussi à convaincre François Félix, président de la Fédération nationale des pépiniéristes et horticulteurs professionnels (FNPHP), qui a donc annoncé son intention de saisir l’association interprofessionnelle du végétal Val’hor pour définir les bases d’une approche mutualisée du dossier.
L’arbre pourrait constituer le premier maillon d’application paysagère du BIM, permettant ainsi de vérifier la compatibilité de l’implantation et du développement du sujet avec les réseaux souterrains avoisinants et d’anticiper l’évolution de son architecture au fil du temps.
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